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mercredi 9 juillet 2014

Un enfant du pays dans les FFI



Né le 1er août 1924 à Durcet André LEBLANC s’engage dans les forces françaises de l’intérieur (F.F.I.) au sein du 1er bataillon de marche le 6 juin 1944. Puis en octobre de la même année, il s’engage comme volontaire pour la durée de la guerre dans le bataillon de marche de l’Orne qui devient, en mars 1945, le 129e régiment d’infanterie. De juin 1945 à juillet 1948, il participe à l’occupation de l’Allemagne.



Il part ensuite en Indochine jusqu’en janvier 1951, soit un séjour de près de deux ans et demi.
À son retour d’Indochine, il est une nouvelle fois envoyé en occupation en Allemagne
d’avril 1953 à décembre 1956.
Puis il quitte l’Allemagne pour l’Algérie où il débarque le 16 décembre 1956. Il rejoint
le 588e bataillon du train à Géryville en tant que maréchal des logis chef.
 Il est tué au cours d’une opération dans le djebel* Majouba (Algérie) le 9 juillet 1957.



 andré leblanc a obtenu les citations suivantes :
« Sous-officier adjoint calme et courageux, a participé à toutes les opérations depuis son arrivée 
en décembre 1956. S’est déjà distingué dans le coup de main d’Asla (territoire d’Aïn-Sefra) 
le 21 janvier 1957. Le 21 mai 1957, lors de l’opération du Kef-Mimouna (département de Tiaret), 
a assuré malgré le feu adverse particulièrement nourri, la mise en place d’éléments d’appui, 
permettant le débordement d’un élément retardateur adverse. »2
mort pour la france
 médaille militaire attribuée suite à cette citation :
« Magnifique sous-officier adjoint ayant donné en maintes occasions la preuve de son allant 
et de son courage au feu, au cours des opérations menées par son unité. A confirmé toute 
la mesure de sa valeur le 9 juillet 1957, lors de l’attaque du djebel* Majouba fortement tenu 
par une bande rebelle. Un de ses chefs de groupe ayant été tué en tentant de franchir 
un couloir d’infiltration battu par les armes adverses, s’est porté résolument en avant, 
au mépris de tout danger, auprès du corps de son sous-officier. Est tombé frappé d’une balle, 
donnant à tous un sublime exemple du dévouement poussé jusqu’au sacrifice suprême. »


 Médaille militaire à titre posthume, Croix de la Valeur militaire avec palme et étoile d’argent, Médaille coloniale avec agrafe « Extrême-Orient »,  Médaille commémorative de la Guerre 39-45 
avec barrette « Libération », Médaille commémorative des opérations de sécurité et de maintien de l’ordre

Source :
http://www.orne.fr/sites/www.orne.fr/files/fichiers/parution/12/12/pdfoptmemorialdesornaismortsenafn.pdf
pages 45

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