Balade en D22

Arrivée au “hangard” (vient de “Heimsgard” qui signifie en Noroi plutôt domicile).

Pour une petite ballade à Durcet en D22 compter

trois huitaines d'octosyllabes et un quatrain d'octosyllabes,

Dictes moy où, n’en quel pays,

Est Flora, la belle Romaine ;

Archipiada, ne Thaïs,

Qui fut sa cousine germaine ;

Echo, parlant quand bruyt on maine
Dessus rivière ou sus estan,
Qui beauté eut trop plus qu’humaine ?
Mais où sont les neiges d’antan !

 Où est la très sage Heloïs,
Pour qui fut chastré et puis moyne Pierre Esbaillart à Saint-Denys ?
Pour son amour eut cest essoyne .
Semblablement, où est la royne

Qui commanda que Buridan

Fust jetté en un sac en Seine ?
Mais où sont les neiges d’antan !

La royne Blanche comme un lys,
Qui chantoit à voix de sereine ;

Berthe au grand pied, Bietris, Allys ;

Harembourges, qui tint le Mayne,
Et Jehanne, la bonne Lorraine,
Qu’Anglois bruslèrent à Rouen ;
Où sont-ilz, Vierge souveraine ?…
Mais où sont les neiges d’antan !

Prince, n’enquerrez de sepmaine

Où elles sont, ne de cest an,

Qu’à ce refrain ne vous remaine :

Mais où sont les neiges d’antan ?

Balade sur un D22 à Durcet

 

(François Villon, Le Grand Testament

 

Prépotin : Durcet rejoindrait le canton de Flers...

 Afin de réduire a 21 au lieu de 40 le nombre de cantons dans l’Orne, la réforme des cantonales est en vue pour le scrutin 2015 ...

La nouvelle carte sera officiellement présentée vendredi 24 janvier 2014 lors d’une assemblée extraordinaire du conseil général à Alençon.

Bientôt un grand Canton d'ATHIS regroupant celui de Briouze et de Putanges... mais  Durcet dérive à gauche... de la carte et rejoindrait le canton de Flers, des pourvois sont possibles.

 le projet de redécoupage dicté par la volonté de rassembler autour de 13 000 habitants par canton. Aujourd’hui, le plus petit (2 800 habitants) est sept fois moins peuplé que le plus important (19 200 habitants).
La loi va aussi transformer le profil du conseil général en imposant une parité homme/femme à la tête de chaque canton, alors qu’aujourd’hui l’assemblée départementale compte 35 hommes et 5 femmes, bientôt des mariages de raison.



Rappelons nous ce qui avait présidé la formation des cantons il y a 200 ans, c'était de pouvoir faire l'aller retour à pied dans la journée pour les communes les plus éloignées (pour les sous préfecture, c'était l'aller retour à cheval dans la journée).

A l'heure de la voiture, les choses posent moins problème surtout avec une deux fois de voix Flers- Durcet...

Que j'sais t'y hureuse de t'revouére, mon pauv'gars!

mais, dis mé donc, est-tu toujours aussi fumellier ?...

Lors de sa dernière réunion de l’année, mardi soir 14 décembre, le conseil municipal de Briouze a pris connaissance des résultats d’une enquête publique. Ce rapport d’enquête publique concerne le projet d’aménagement foncier relatif à la mise à 2×2 voies de la RD 924 (axe Flers-Argentan) sur les communes de Briouze et Sainte-Opportune, avec extension sur la commune de Durcet.




ps:
Le secrétariat de la mairie est fermé du vendredi 27 décembre 2013 au vendredi 3 janvier 2014 inclus.

Joyeux Noël

une Ballade : au Moyen Age, poème lyrique à forme fixe, se composant de 3 strophes et d'un envoi qui commence en général par le mot « Prince ». 

Chaque strophe et l'envoi se terminent par le même vers, les 3 strophes sont symétriques par le nombre de vers, la position des rimes, la mesure des vers, tous de même longueur.

une balade au bourg de Durcet le soir Noël

Au XIXe siècle : poème épico-lyrique, à strophes égales, emprunté par les romantiques à l'Angleterre et à l'Allemagne : ce poème a pour sujet une légende guerrière, un amour tragique, un amour sanglant, un récit fantastique. 

 De nos jours, la ballade évoque surtout l'idée de chant populaire.

composition florale d'automne par Nicole

fait à l'atelier d'Athis

"La fleur tombe en livrant ses parfums au zéphyre ;
À la vie, au soleil, ce sont là ses adieux ;
Moi, je meurs ; et mon âme, au moment qu’elle expire,
S’exhale comme un son triste et mélodieux."

extrait de de Lamartine

l'étang de la gine

e

Yr'pleut!

La St Côme 2013

Les traditionnelles fêtes Saint-Côme et la Petite oie ont lieu samedi 28 et dimanche 29 septembre sur le terrain situé près de la salle communale de Durcet. 

Comme à l'accoutumée, la présence du chapiteau permettra aux visiteurs de venir se restaurer samedi midi et soir, ainsi que dimanche, afin de déguster le couscous made in Normandie préparée et mijotée par les organisateurs.

le marché aux bestiaux du matin

La foire aux bestiaux, de bon matin, permettra aux habitués, adultes et enfants, de voir différents cheptels de qualité.

 Samedi soir, le repas servi sous le chapiteau sera complété par une animation musicale.

dimanche matin, les exposants devraient arriver en nombre pour le vide-grenier, qui attire toujours du monde prêt à dénicher des objets et des articles en bon état.

la petite oie sur la charrette à gerbe réalisé par Olivier il y a quelques année déjà, 

dans les ateliers de la famille Angers

Samedi : Midi : repas de petite oie, oie rôtie, grillades...

SOIR : Soirée dansante ( couscous, assiette anglaise )

Dimanche : Toute le journée vide grenier 1e le mètre inscription jusqu'au 26/09, attractions foraines, jeux...

photo ouest-france

cirque burlesque

photo ouest-france

14h30 Spectacle avec le groupe LES TÊTES D'AFFICHES


Repas sous chapiteau réservations au 02-33-66-18-05 ou 06-26-98-02-84

La journée de dimanche a vu affluer plusieurs centaines de badauds et de fidèles, parcourant les allées dédiées au vide-greniers, à la fête foraine et aux diverses attractions. Comme le souligne Natacha Lainé, présidente du comité des fêtes, « Nous avions quelques craintes au regard de la météo annoncée, mais il n'en fut rien. Le repas sous le chapiteau, samedi soir, a permis de faire quasiment le plein. De même, une bonne quarantaine d'exposants ont répondu à l'appel et le vide-greniers s'avère un réel succès. De plus, les acrobates et les artistes de la troupe Les Têtes d'Affiches ont rassemblé plus de trois cents personnes dimanche après-midi. »


source http://www.ouest-france.fr/

Le puit de la mairie

L'ancien puit de la mairie a été installé il y a quelques année. il était au paravant dans un champ avoisinant et a été donné par madame Coquelin.

 

 

 

 

 

 

Depuis cinq ans, le maire de Durcet bataille avec le maître d’oeuvre de sa mairie pour régler les différents problèmes relevés sur le bâtiment, suite à des travaux de rénovation.

 

Le maire de Durcet est excédé. Pour la troisième année consécutive, la mairie de Gérard Pierre devra subir les intempéries hivernales, habillée de bâches en plastique. La cause : des malfaçons sur la façade et les fenêtres. « Nous avons certainement à Durcet la seule mairie en plastique de France ! », s’exclame le maire.

Si cette phrase peut être entendue avec humour, elle révèle avant tout l’exaspération de l’édile. Depuis cinq ans, l’édifice se disloque. Ces problèmes ont été visibles dès les premiers mois suivant la fin des travaux. A l’origine, il s’agissait d’une grange, réhabilitée en mairie et appartement. Parmi les différents problèmes relevés, la façade en torchis, exposée à l’ouest, provoque de nombreux problèmes. « La mairie prend à la fois l’eau et l’air. Les bâches évitent depuis trois ans de voir le torchis tomber. Mais cet hiver sera celui de trop, ça ne peut plus durer !  »

Humidité et courant d’air

Mais ce problème n’est pas le seul, et pour preuve : un diagnostic a été commandé par le maire, en 2011, auprès de l’Apave. Le rapport est sans appel : 17 pages de malfaçons constatées sur ce bâtiment, entre la façade, l’étanchéité des fenêtres, et la sécurisation de l’appartement, à l’étage. Affaissement du plancher à l’étage, décollement d’enduit sur des panneaux de remplissage de 3 à 4 m2, dégradation des joints d’étanchéité extérieure, isolement acoustique quasi inexistant… la liste est longue. « Quand nous étions en conseil, les locataires pouvaient suivre la réunion avec nous !  » Des défauts sont également relevés sur le réseau de gaz et de chauffage, mettant en jeu la sécurité même des personnes vivant dans ce bâtiment. « Tout a été fait en dépit du bon sens. L’architecte de l’époque, qui était aussi le maître d’œuvre, n’a rien vu, et les artisans ont travaillé n’importe comment. »

Pourquoi attendre si longtemps, penseraient certains. « Je ne voulais pas saisir le tribunal administratif, pour éviter les années de procédures. Je voulais régler cela à l’amiable, et j’ai fait confiance au maître d’œuvre… pour rien !  »

Aujourd’hui, il n’y a plus de locataire dans l’appartement situé au-dessus des bureaux communaux. « Le locataire est parti au premier août. Avec la communauté de communes, propriétaire de l’appartement, nous avons décidé que la mairie paierait un loyer de 160 euros par mois, en attendant de pouvoir racheter cet espace, et régler ainsi les frais engagés par la collectivité pour la réfection du logement. »

La réfection complète du bâtiment, en 2005, avait alors représenté, au total, un investissement de 160 000 euros. Aujourd’hui, la réfection de la façade avec un lambris, et la pose de nouvelles portes et fenêtres, dans les normes, ne représentent pas moins de 60 000 euros de travaux. « Le projet est prêt avec un nouvel architecte depuis 2011. Nous attendons que je puisse signer un protocole avec la MAF (Mutuelle des architectes français). » Pour cela, le maire de Durcet attend avec impatience de voir le maître d’œuvre de l’époque « assumer sa responsabilité dans cette affaire ».

Gérard Pierre se dit aujourd’hui « très en colère face à cette inertie. J‘ai l’impression que l’on se fout de moi. Tout ce que je demande aujourd’hui, c’est avoir une mairie normale, et que mes administrés n’aient plus à voir l’état déplorable de ce bâtiment. »

 

 

Durcet, 61

 

article de l'Orne combattante

La courgette par la gyraf

La gyraf est originaire de notre coin de campagne

Le bus Beauté - coiffure

Tous les 15 jours passe dans notre commune le mardi de 9h à 18 h le salon de coiffure ambulant

rdv au parking face à la mairie

 

Le méchoui communal de 2013

    vue panoramique des champs autour de Durcet

Comme le veut la tradition au sein de la bourgade durcetoise, les bénévoles du comité des fêtes, présidé par Natacha Lainé se sont mobilisés au méchoui annuel, organisé à la salle communale.

Placé sous la responsabilité de Brigitte Pierre, les quelques 70 convives ont pu passer une agréable journée conviviale, joyeuse et festive à souhait.

Entrée de Durcet

Les festivités se sont achevées, en fin de journée, par des tournois de cartes et autres jeux en plein air. Natacha Lainé, « Les conditions météorologiques étaient de la partie, ce qui a favorisé le succès de notre manifestation amicale.

Samedi 28 et dimanche 29 septembre, prochains rendez-vous du comité des fêtes avec la Saint-Côme. Fête foraine, dégustation de la petite oie sous chapiteau et autres animations en cours de préparation.

1944 à Durcet

Il y a 69 ans les journées du 17 et 18 Aout 1944 furent le théâtre de combats pour la libération de notre région et de notre commune de Durcet par les troupes anglaises.

près  d'un bâtiment à Landigou, un officier du"Hereforshire" consultait sa carte et préparait l'attaque sur Durcet pour sa libération.

Soldat de plomb du Hereforshire" en position sur Durcet.

La Normandie est l'un des espaces historiques les plus visités de France. Souvenons nous que notre région fut le témoin des combats de la Bataille de Normandie entre les mois de juin et d'août 1944, qui ont laissé de nombreuses traces sur le territoire Normand.

sur le Baux

 "Greater love hath no one than this, that he lay down his life for his friends"

 Rdv l'année prochaine pour

Charrette à gerbes

la charrette attend la fête de la petite Oie

Chaque été, dans nos campagnes normandes, la moisson bat son plein, et les champs, au matin, se couvrent de travailleurs se hâtant pour profiter du ciel bleu et du soleil d'août. C'est le grand acte de la vie rurale, c'est pour ainsi dire le dernier tableau de tout un drame du travail, qui, depuis des siècles, se joue chaque année.

Elle était bien curieuse, la moisson au moyen-âge, surtout en Normandie, où les baux à ferme s'étant développés dès le IXe siècle, permirent à l'agriculture, en dépit de toutes les guerres, de toutes les exactions, de prendre son essor. Les champs de blé, les blairies, comme on disait, qu'ils appartinssent au seigneur ou aux vilains, étaient entourés de beaucoup de soins et fort bien tenus, quoi qu'on en pense. Après la Saint-Jean, par exemple, commençait le sarclage des blés, fait généralement par les femmes, qui, armées d'une petite fourche, arrachaient les chardons ou, à coups de
faucilles ordinairement fournies par les tenanciers, coupaient les yèbles, une espèce de sureau herbacé qui poussait alors dans les champs. C'est ainsi que le sarclage des blés qui, parfois, commençait à la Pentecôte.

La plupart du temps, les champs de blé, contrairement à l'usage actuel, étaient entourés, surtout quand ils se trouvaient dans le voisinage des forêts - alors très nombreuses - par une véritable enceinte de rameaux qui servaient à les protéger des incursions des animaux. Ainsi en était-il, par exemple, à Grand-Couronne, dans le voisinage de la forêt de Roumare ou de Brotonne, où les champs de blé étaient ainsi défendus par des haies factices de houx, de ronces ou d'épines.. De là, une sorte de droit de ramage que les ramagers ne se faisaient point faute d'exercer, aux mois de mars et de septembre, pour clore leurs moissons.

La moisson, les « aoûteux »

par Georges Dubosc

Mardi 21 mai une trentaine de randonneur s'étaient donnés rendez vous devant la salle de durcet pour une randonnée de 9 kilomètres sue les chemin des poètes

Le Printemps de Durcet

Rassemblement devant la mairie de Durcet malgré une météo peu généreuse.

photo ouest France

"Samedi après-midi, lors de la journée inaugurale du Printemps de Durcet, entièrement consacré à la poésie, 150 marcheurs ont bravé la pluie, les bourrasques de vent et la fraîcheur de la température, avant d’entamer la traditionnelle marche du « Chemin des poètes ».

Les seize poètes élus de la promotion 2013 étaient pratiquement tous présents au rendez-vous fixé par les organisateurs. En guise de discours liminaire, Jean-Claude Touzeil s’est exprimé avec un clin d’œil non dissimulé : « Bienvenue à toutes et à tous à Durcet, le pays où il ne pleut jamais au printemps ! »

Nullement découragés par les conditions météorologiques défavorables, bon nombre de marcheurs ont poursuivi la balade, accompagnés en partie par un joueur de violon."

Article ouest France 

exposition d'oeuvre dans la salle

« Ce qui est remarquable, c'est que les enfants, les adolescents et les jeunes adultes, s'intéressent de plus et plus à la petite musique de la poésie. En témoignent, les écrits réalisés par les scolaires et ceux édités par de nouveaux adeptes du genre, à l'image des ouvrages de Flora Delalande. La venue de certains auteurs, tel que Patrick Joquel, avant-hier dans nos classes de maternelle, a permis aux jeunes élèves de s'initier au plaisir de jouer avec les mots, de les faire vibrer et résonner, mais aussi de les mettre en scène », précise Emmanuelle, enseignante.

« Nul doute que Durcet, labellisé Village en Poésie depuis 2012, continuera d'être une commune rurale incontournable sur le chemin de la poésie dans l'Hexagone, au cours des années à venir », souligne Jean-Claue Touzeil

rencontre avec les poètes dans le Petit Salon du Livre de Poésie organisé dans  la salle polyvalente aux jolies rideaux automatiques

 Jean-Claude Touzeil sur  le chemin du Printemps de Durcet.
"la petite musique des gouttes de pluie, des mots et des émotions. "

Borne d'Isabel Asúnsolo

 Borne poétique de  la journée du samedi 13  une balade sur le chemin des poètes d'environ 7 km.

"huitième édition du chemin des poètes  au coeur de la nature" 

Rouge-gorge tu exagère....

Après la pluie vient "le bau" temps