Alliages

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samedi 1 novembre 2014

L'ancienne église de Durcet



Plus loin, une abbaye antique, abandonnée,
Tout-à-coup s' offre aux yeux de bois environnée.
Quel silence! C' est là qu' amante du désert
La méditation avec plaisir se perd
Sous ces portiques saints, où des vierges austères,
Jadis, comme ces feux, ces lampes solitaires
Dont les mornes clartés veillent dans le saint lieu,
Pâles, veilloient, brûloient, se consumoient pour Dieu.
Le saint recueillement, la paisible innocence
Semble encor de ces lieux habiter le silence.




La mousse de ces murs, ce dôme, cette tour,
Les arcs de ce long cloître impénétrable au jour,
Les degrés de l' autel usés par la prière,
Ces noirs vitraux, ce sombre et profond sanctuaire
Où peut-être des coeurs en secret malheureux
À l' inflexible autel se plaignoient de leurs noeuds,
Et pour des souvenirs encor trop pleins de charmes,
À la religion déroboient quelques larmes;
Tout parle, tout émeut dans ce séjour sacré.
Là, dans la solitude en rêvant égaré,
Quelquefois vous croirez, au déclin d' un jour sombre,
D' une Héloïse en pleurs entendre gémir l' ombre.

jeudi 9 octobre 2014

Le château de Durcet



 Sur des palais détruits d' autres palais naissants, 
Et, dans ce long tourment de la terre et de l' onde, 
Un nouveau monde éclos des débris du vieux monde! 
Hélas! Je n' ai point vu ce séjour enchanté, 
Ces beaux lieux où Virgile a tant de fois chanté; 
Mais, j' en jure et Virgile et ses accords sublimes





mercredi 24 septembre 2014



Qui sera la plus belle vache, au marché de la St Côme ?

Les bénévoles du comité des fêtes, sous la présidence de Natacha Lainé, mettent la dernière main à la préparation de la fête Saint-Côme et de la Petite oie, des samedi 27 et dimanche 28 septembre, sur le terrain communal qui jouxte la salle polyvalente. Existant depuis un peu plus de deux siècles, ce rendez-vous ne cesse d'évoluer et de proposer des animations gustatives, ludiques et conviviales.


Autour de Natacha Lainé, présidente du comité des fêtes, et de Gérard Pierre, maire,
 les nombreux bénévoles anciens et nouveaux sont fin prêts pour la fête Saint-Côme et la Petite oie, ce week-end.


Comme le résume Natacha Lainé, « la fête Saint-Côme est couplée avec la restauration de la Petite oie rôtie, samedi et dimanche midis. La gastronomie est un moment incontournable et traditionnel des festivités. Comme la coutume le veut, l'oie arrive à maturité à l'approche de l'automne et par habitude, depuis deux siècles, sa dégustation fait partie du rituel. À titre d'anecdote, l'un de nos concitoyens, Marcel Forget, y participe depuis plus de six décennies. Nous aurons un plaisir non dissimulé à le croiser ce week-end. »
Vide-greniers et fête foraine
Samedi soir, un couscous dansant sera servi sous le chapiteau pouvant contenir environ 350 personnes et convives.
Parmi les animations proposées aux visiteurs, deux d'entre elles sont fidèles au programme. Comme le souligne Gérard Pierre, en charge des réservations au vide-greniers : « Nous sommes déjà à 80 emplacements retenus et nous allons devoir refuser du monde. À ce jour, cela représente plus de 600 mètres linéaires cumulés ».

article et photo de ouest France

vendredi 19 septembre 2014

Fête de la Saint-Côme



Fête de la Saint-Côme avec vide-greniers

Acheter, chiner - Brocante, vide-greniers




La fête foraine battra son plein tout le week-end dans le bourg. La manifestation est couplée avec la Fête de la petite oie : l'oie se dégustera sous toutes ses formes :

Fête de la petite oie. Soirée dansante le 27 septembre avec repas sous chapiteau, dégustation de la petite oie. Le 28 septembre : vide-greniers, repas (oie rôtie ou petite oie ou grillades), manèges, jeux. 

Repas sur réservation et sous chapiteau. 

Du samedi 27 septembre au dimanche 28 septembre, Durcet. 


Contact et réservation : tél. 06 26 98 02 84, et 06 81 04 14 54.

C'est de tradition à Durcet : on se retrouve, à un moment ou un autre, autour d'une table 

samedi 6 septembre 2014

le méchoui

les invités cette année, comme souvent à Durcet
Des rangées d'hirondelles sur un fil électrique, voilà une image que l'on voit moins souvent qu'avant.

vendredi 22 août 2014

Deux durcetois mort à la bataille de Ethe

GÉMY Octave Joseph et YVER Gaston Paul deux Soldats du 103e R.I. , nés à Durcet, ils avaient 21 ans : Ils sont mort au combat le 22/08/1914 à la bataille de Ethe 

En garnison à Alençon et Paris au moment de la mobilisation d'août 1914, rattaché à la 14e brigade d'infanterie de la 7e D.I.
 


Extrait des combats du 22 Août 1914 à Ethe en Belgique.
06h :
L’avant-garde de la 7e division se trouve encore à Gomery. Les dernières unités sont sur le point d’atteindre la ligne de chemin de fer Virton – Musson, de sorte que les batteries se trouvent encore au nord de Ruettes, attendant que le passage soit ouvert. Les 2 bataillons du 101e sont près de Ruettes et le 102e est sur la route, sa tête à la sortie de Grandcourt.
Les éclaireurs aperçoivent des fantassins allemands sur la crête qui domine la rive sud du Ton. Les cavaliers sont partout arrêtés par des coups de fusil.
La 12e compagnie du 103e R.I. est chargée d’ouvrir le passage au 14e hussards et de dégager une ferme occupée par les Allemands, sur la rive du Ton. Un combat très vif s’ensuit : les pertes françaises sont graves. Une section de mitrailleuses est appelée à la rescousse.



07h :
L’avant-garde de la 7e division se trouve subitement sous une trombe de balles qui s’abattent sur la route. Des fractions des 9e et 12e compagnies du 103e R.I. font le coup de feu contre les Allemands abrités. Déjà fort éprouvées, elles sont à court de munitions. Ordre est donné d’essayer de tourner l’adversaire.
Le capitaine Bertin, qui conduit la pointe de la 7e division, rencontre des hussards français, et les habitants signalent que les Allemands se sont retranchés. Le capitaine se rend compte que si la division s’engage en colonne de route, elle se trouvera en mauvaise position pour se battre. Malgré les ordres d’avancer, il s’arrête à la gare. Il rejoint ensuite le commandant Henry, qui se trouve à La Tuilerie. Il insiste pour que toute l’avant-garde ne descende pas des hauteurs et que le bataillon pénètre seul dans Ethe, mais le commandant est lié par un ordre formel et cet ordre est d’avancer.
07h15 :
Le bataillon Jouvin pénètre dans Ethe par le pont principal.

07h20 :
Le gros de l’avant-garde de la 7e division, constitué par les deux bataillons Levin et Forcinal du 104e R.I. et par trois batteries du 26e R.A.C. pénètre dans Ethe. A sa tête marche le général Félineau.

Au moment où le 2e bataillon (Forcinal) arrive à hauteur de la Tuilerie, une trombe de balles venue du nord s’abat sur la route, ce qui oblige la troupe à s’abriter dans les fossés.


ils sont inscrit tous deux sur notre monument aux morts






Aout 1914



En août 1914

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mardi 19 août 2014

le méchoui de Durcet 31 Août


le méchoui de Durcet aura lieu le 31 Août


Comme le veut la tradition au sein notre bourgade durcetoise, les bénévoles du comité des fêtes, présidé par Natacha Lainé se  mobiliseront pour le méchoui annuel, organisé à la salle communale.
Placé sous la responsabilité de Brigitte Pierre,  70 convives avait  passer l'année dernière une agréable journée conviviale, joyeuse et festive à souhait...  à votre tour !

samedi 16 août 2014

Il y a 70 ans...

Il y a 70 ans les journées du 17 et 18 Aout 1944 furent le théâtre de combats pour la libération de notre région et de notre commune de Durcet par les troupes anglaises.


près  d'un bâtiment à Landigou, un officier du"Hereforshire" consultait sa carte et préparait l'attaque sur Durcet pour sa libération.

"These deeds which should not pass away.  Names that must not wither.
The Last Post sounded, the soldier sleeps who died in honour.
Only those who have loved and lost, can understand war's bitter cost.
Oh for the touch of a vanished hand and the sound of a voice so still.
When days are dark and friends are few, 
My Dear Son, How I long for you.......
No dear one's stood beside him to hear his last farewell.
While he lies in silent sleep, his memory we will always keep"

-
la débâcle allemande




film d'époque tourné à Larchamp ayant pu être tourné aussi dans notre commune




et il y a 100 ans
le 17 aout 1914 les régiments ornais, ont pour mission d'avancer vers le Luxembourg...
pendant les 5 premiers mois 10 500 ornais seront tués au combat.


La 16ém division d'infanterie de Bourges est commandée par le général de Maud'huy

samedi 2 août 2014

Ordre de mobilisation générale, 2 août 1914




Concernant le Domfrontais, la plupart des hommes ont fait leur service militaire dans le 104e RI basé à Argentan et Paris, bien que soit établi dans la caserne Laharpe de Domfront le 1er Bataillon du 130e RI (les deux autres bataillons étant casernés à Mayenne). Lors de la mobilisation générale du 2 août 1914, les hommes nés en 1891, 1892 et 1893 sont incorporés dans le régiment d’active (104e RI d’Argentan), ceux nés entre 1881 et 1890 le sont dans le régiment de réserve (304e RI d’Argentan), tandis que le régiment des territoriaux (32e RIT d’Argentan) est formé des rappelés nés entre 1875 et 1880. Le 104e RI dépendait de la 7e DI à laquelle étaient également rattachés les 101e, 102e et 103e RI, l’escadron du 14e Hussards et le 31e Régiment d’Artillerie de Campagne. La 7e DI faisait partie du 4e Corps d’Armée de la 3e Armée, l’une des cinq armées mises à la disposition du général de division (3 étoiles) Joseph Joffre, le commandant en chef des armées du Nord et du Nord-Est.





vendredi 1 août 2014

il y 100 ans

Le samedi 1er août 1914, à 4 heures de l'après-midi, tous les clochers de France font entendre un sinistre tocsin à l'église de Durcet.
C'est la mobilisation générale.
la veille on avait tué Jaurès 




dimanche 27 juillet 2014

une Origine du nom de Durcet

village de la rivière ou du ruisseau.

 DURCET, tirerait son nom d'une petite rivière car Durcet serait un diminutif de dour , la racine celte  "dour" ou "dor" (rivière) est évidente.
 Une racine hydronymique dur- du celtique "dour" qui signifie "la rivière".

Landigou serait aussi landis-gour la lande du ruisseau se serait pour d'autre la Lande Igouchi nom d'un chef local


mercredi 23 juillet 2014

une jolie maison fleurie


A coté de la mairie on découvre une jolie maison fleurie par son occupante 


petite maison de bourg à loué dans la rue des pommiers



Nouveau visage pour la Mairie





un projet affiché dans la salle de la mairie

suite aux problèmes d'infiltration la façade a été recouverte de bois et de tôles (ondulé par endroit)
comme elle l'avait été auparavant .


la façade coté rue à gardé ses colombes et son torchit

Appareillage de pierre de bois et de torchis traditionnel des maisons du Houlme pas toujours étanche
mais le maire compte bien s'en occuper



Avant

pendant les fuites

pendant les travaux




Aujourd'hui

il manque les deux éclairages ?

sur la carte clic clic

mercredi 9 juillet 2014

Un enfant du pays dans les FFI



Né le 1er août 1924 à Durcet André LEBLANC s’engage dans les forces françaises de l’intérieur (F.F.I.) au sein du 1er bataillon de marche le 6 juin 1944. Puis en octobre de la même année, il s’engage comme volontaire pour la durée de la guerre dans le bataillon de marche de l’Orne qui devient, en mars 1945, le 129e régiment d’infanterie. De juin 1945 à juillet 1948, il participe à l’occupation de l’Allemagne.



Il part ensuite en Indochine jusqu’en janvier 1951, soit un séjour de près de deux ans et demi.
À son retour d’Indochine, il est une nouvelle fois envoyé en occupation en Allemagne
d’avril 1953 à décembre 1956.
Puis il quitte l’Allemagne pour l’Algérie où il débarque le 16 décembre 1956. Il rejoint
le 588e bataillon du train à Géryville en tant que maréchal des logis chef.
 Il est tué au cours d’une opération dans le djebel* Majouba (Algérie) le 9 juillet 1957.



 andré leblanc a obtenu les citations suivantes :
« Sous-officier adjoint calme et courageux, a participé à toutes les opérations depuis son arrivée 
en décembre 1956. S’est déjà distingué dans le coup de main d’Asla (territoire d’Aïn-Sefra) 
le 21 janvier 1957. Le 21 mai 1957, lors de l’opération du Kef-Mimouna (département de Tiaret), 
a assuré malgré le feu adverse particulièrement nourri, la mise en place d’éléments d’appui, 
permettant le débordement d’un élément retardateur adverse. »2
mort pour la france
 médaille militaire attribuée suite à cette citation :
« Magnifique sous-officier adjoint ayant donné en maintes occasions la preuve de son allant 
et de son courage au feu, au cours des opérations menées par son unité. A confirmé toute 
la mesure de sa valeur le 9 juillet 1957, lors de l’attaque du djebel* Majouba fortement tenu 
par une bande rebelle. Un de ses chefs de groupe ayant été tué en tentant de franchir 
un couloir d’infiltration battu par les armes adverses, s’est porté résolument en avant, 
au mépris de tout danger, auprès du corps de son sous-officier. Est tombé frappé d’une balle, 
donnant à tous un sublime exemple du dévouement poussé jusqu’au sacrifice suprême. »


 Médaille militaire à titre posthume, Croix de la Valeur militaire avec palme et étoile d’argent, Médaille coloniale avec agrafe « Extrême-Orient »,  Médaille commémorative de la Guerre 39-45 
avec barrette « Libération », Médaille commémorative des opérations de sécurité et de maintien de l’ordre

Source :
http://www.orne.fr/sites/www.orne.fr/files/fichiers/parution/12/12/pdfoptmemorialdesornaismortsenafn.pdf
pages 45

lundi 26 mai 2014

Les cigognes vont-elles finir par nicher dans l’Orne et plus particulièrement dans notre bocage ? Un couple a été aperçu à Durcet, vendredi, et quelques jours plus tard, il y en avait au moins une quinzaine, à Briouze. Un phénomène très exceptionnel.
La semaine dernière déjà, un échassier a été vu à La Selle-La-Forge. Une observation pourtant assez rare dans l’Orne et surtout à cette époque. « Les cigognes sont arrivées il y a un mois », témoignait, dans nos colonnes, Etienne Lambert du Gon, le groupe ornithologique normand. Pour lui, il devait s’agir « d’un migrateur tardif ou d’un jeune qui n’a jamais fait le voyage ». Mais voilà, depuis, les observations se sont multipliées et notamment dans la région de Briouze.

Les cigognes faisaient-elles simplement une halte avant de s’envoler vers les pays d’Europe du Nord où ont-elles finalement choisi de nicher à Briouze ? Réponse dans quelques jours…
Quoi qu’il en soit, les cigognes offrent déjà un beau spectacle aux habitants de la région de Durcet. 
A noter que le Gon ne recense que quatre ou cinq haltes de cigognes par an dans le département.





Amateurs d’ambiance western, de pas de danse et de stetsons, rendez-vous le dernier week-end de mai pour deux journées dédiées à la country à La  Carneille le weekend prochain.
La journée des artistes aura lieu en même temps à la Carneille