Alliages

Alliages
» Durcet, Lieu Dit la Boudiniere, Lieu Dit la Grande Ferme Lieu Dit la Maurinais, Lieu Dit la Morandiere,Lieu Dit la Petite Rousselaie Lieu Dit la Sansonniere Lieu Dit la Tretiere Lieu Dit la Trihanniere,Lieu Dit Launay Boeuf Lieu Dit le Baux Lieu Dit le Beaulieu , Lieu Dit le Boulay, Lieu Dit le Bourg Lieu Dit le Château Lieu Dit le Cotin Lieu, Dit le Haut de Durcet, Lieu Dit le Logis Lieu, Dit le Menil Logis Lieu, Dit le Parsauque, Lieu Dit le Petit Ros, Lieu Dit le Plessis Lieu Dit le Poirier Lieu Dit le Pre Macrel, Lieu Dit le Rocher,Lieu Dit le Ros Lieu Dit le Val Lieu Dit les Closets, Lieu Dit les Onfrairies, Lieu Dit les Poulardieres, Lieu Dit Magny

mercredi 26 octobre 2016

Paul GÉMY durcetois et Soldat du 216e R.I.

l'image de guerre 72 01

Paul Octave Léon GÉMY  est né en 1881 à Durcet. Il est incorporé comme Soldat au 216e R.I. Régiment d'Infanterie, il est mort au combat il y a 100 ans à Vaux-devant-Damloup (55).

En 1916, le 216e RI montera deux fois sur le front de Verdun autour du fort de Vaux. La première, en juin 1916, dans une tentative désespérée de briser le siège du fort par les Allemands. Remplacé par le 67 RI 

 La deuxième, en octobre 1916, cette fois pour reprendre le fort aux Allemands. Paul Gémy y succombera le 26/10/1916 (Vaux-devant-Damloup).

Ainsi en parle le capitaine Charles Delvert dans "Carnets d'un fantassin" le 23 mai 1916 : p 236 édition Albin Michel 1935

 " Dans le ravin, la grande rue de Vaux est un amas informe de décombres, de poutres calcinées d'où émergent par instant quelques pans de murs très bas. Ce petit village blotti au fond d'un vallon entouré de bois et de prairies, avec son étang en arrière dans un cirque de forêts, devait être délicieux. Voilà ce qu'il en reste : une alignée de débris où pourrissent des cadavres ! "

source

mercredi 5 octobre 2016

Alexis Landais


Le jeune pongiste du club de Flers est l’un des meilleurs espoirs de sa génération. À 15 ans, il croise le fer avec des adultes et tente de remporter les tournois nationaux.

En 2015, l’équipe 3 du tennis de table flérien est parvenue à monter en Régionale 3. Une performance qu’elle doit en partie à son petit prodige Alexis Landais. « Il nous a retourné des situations parfois inespérées. Il dégage déjà une grande maturité pour son âge », remarque son coéquipier Jean-Michel Maillard. À 14 ans, le pongiste durcetois est promis à une belle carrière. En avril 2015 , il décrochait son premier titre de champion de l’Orne.

Derrière ce visage de jouvenceau aux apparences timides se cache un joueur « débordant d’énergie. » Son talent est indéniable et sa haine de la défaite l’a conduit à réaliser quelques exploits contre des joueurs bien plus expérimentés que lui.Qualifié au championnat de FranceAlexis Landais n’aurait peut-être jamais eu ce palmarès si le père d’un de ses amis ne l’avait pas emmené un jour à un entraînement. Il a alors huit ans quand il tape ses premières balles au club de tennis de table de Durcet. La machine est lancée. S’il veut progresser, il doit partir dans un plus gros club. Flers a la structure idéale pour lui faire passer un cap.

Sous la houlette de l’entraîneur du club, Jérôme Leroi, et du conseiller technique départemental, Patrick Pessy, l’effet est immédiat. Ils remportent des matchs décisifs en championnat par équipe. Il y a trois semaines, il décroche le titre départemental et finit deuxième au régional, ce qui le qualifie pour les prochains championnats de France, en juin prochain, à Nantes. 
Mais s'il veut atteindre son objectif, être numéroté français, il devra corriger son principal défaut, le mental. « Il est un peu nerveux et foufou sur le terrain, constate Jean-Michel Maillard. Plus il va monter en niveau et plus il va rencontrer des joueurs qui ont de la bouteille. Il faut qu'il gagne en maturité. » Ses entraîneurs sont confiants et se fixent comme objectif « de l'intégrer dans trois ans, à l'équipe 1, en pré-nationale. » Seule préoccupation d'Alexis pour le moment : « gagner le tournoi national de Flers. » 

source Article de mai 2015