La Fontaine à Durcet.
Il retourne à pas lents vers sa gentilhommière,
Pensant tantôt aux fleurs qu’il tient, tantôt à rien,
Parfois tout seul, parfois précédé de son chien
Alléché par le rôt dont il sent la fumée.
Son vieux feutre reprend sa place accoutumée
À la corne de cerf qui pend au soliveau.
Il trouve à sa cuisine un goût toujours nouveau ;
De vieux amis d’ailleurs il n’a point pénurie...
Extrait de poèmes de Gustave Le vavasseur
Novembre 1845.
Durcet route du Val.